Générale le 21 mars dernier d’Il Barbiere di Siviglia de Gioachino Rossini.

Reportage par José Sacré pour Monaco Info

a journée « Portes ouvertes » organisée par Jean-Louis Grinda, Directeur de l’Opéra de Monte-Carlo, a permis au public d’assister aux répétitions du « Barbier de Séville » de Rossini et d’observer l’envers du décor, à travers cette représentation entrecoupée de changements de mise en scène ou d’ajustements de musique.

Plus de six minutes d’applaudissements continus au final aujourd’hui 14 mars 2017, pour la première représentation au Japon de la nouvelle production Lucia di Lammermoor mis en scène par Jean-Louis Grinda, directeur de l’Opéra de Monte-Carlo, à la demande du New National Theatre de Tokyo.

L’Orchestre Philharmonique de Tokyo est dirigé pour cet opéra par Giampaolo Bisanti; les décors, costumes et lumières sont assurés respectivement par Rudy Sabounghi, Jorge Jara et Laurent Castaingt. La distribution : Olga Peretyatko-Mariotti (Lucia), Ismael Jordi (Edgardo), Arthur Rucinski (Enrico), Hidekazu Tsumaya (Raimondo), Yuka Kobayashi (Alisa) et Atsushi Kanno (Normanno), avec le Chœur du New National Theatre. Cinq représentations sont programmées du 14 au 26 mars 2017.

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More than six minutes of continuous applauses in the final today in March 14th, 2017 for the Premiere of the new production Lucia di Lammermoor, staging by Jean-Louis Grinda, director of the Monte Carlo Opera, upon the request of the New National Theatre of Tokyo

The Tokyo Philharmonic Orchestra is conducted for this opera by Giampaolo Bisanti; sets, costumes and lights will be respectively provided by Rudy Sabounghi, Jorge Jara and Laurent Castaingt. The cast will be undertaken by Olga Peretyatko-Mariotti (Lucia), Ismael Jordi (Edgardo), Arthur Rucinski (Enrico), Hidekazu Tsumaya (Raimondo), Yuka Kobayashi (Alisa) et Atsushi Kanno (Normanno), with the New National Theatre Chorus for five performances from March 14th to 26th, 2017.

Conférence de presse de présentation de la nouvelle production Lucia di Lammermmor (une co-production entre le New National Theatre de Tokyo et l’Opéra de Monte-Carlo) dont les cinq représentations auront lieu du 14 au 26 mars 2017.

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Press conference for the presentation of the new production Lucia di Lammermoor ( a coproduction between the New National Theatre and the Monte Carlo Opera) which five performances will be held from March 14th to 26th, 2017.

Le journaliste José Sacré de Monaco Info a eu l’occasion de rencontrer Jean-François Lapointe ainsi que José Cura.

Rencontre avec Nathalie Stutzmann

Soliste contralto, Nathalie Stutzmann est aussi l’une des rares femmes chef d’orchestre dans un univers largement conduit par des hommes.

Première femme à avoir dirigé un orchestre dans la fosse à l’Opéra de Monte-Carlo dans L’elisir d’amore en 2014, elle reprend sa baguette pour la nouvelle production Tannhäuser dans la version de Paris en français, mis en scène par Jean-Louis Grinda.

José Sacré a rencontré cette femme de caractère, passionnée depuis toujours par la musique.

TANNHÄUSER
Richard Wagner

Créé à Dresde en 1845, remanié pour l’Opéra de Paris en 1861 (où ce fut un four retentissant), le cinquième opéra de Wagner (en comptant ses œuvres de jeunesse) puise à des sources médiévales à la fois réelles — les ménestrels — et légendaires. L’intrigue est d’une grande simplicité, au moins apparente : amour profane contre amour divin, lutte de la chair contre l’esprit, Venus contre Elisabeth (les deux personnages féminins de l’opéra). Tannhäuser, tiraillé entre ces deux aspirations, est non seulement un des rôles de ténor les plus exigeants du répertoire wagnérien, mais aussi un personnage d’une grande richesse psychologique. La partition recèle des pages magnifiques, outre l’Ouverture où défilent les principaux motifs de l’opéra, l’air d’Elisabeth « Dich, teure Halle », la Romance à l’étoile chantée par le baryton… À Monaco, le célèbre ténor argentin José Cura chantera son premier Tannhäuser, sous la direction de Nathalie Stutzmann qui, sans abandonner sa carrière de contralto, a trouvé dans la direction d’orchestre un autre exutoire à son grand talent.

OPÉRA DE MONTE-CARLO
DIMANCHE 19 FÉVRIER 2017 – 15H
MERCREDI 22 FÉVRIER 2017 – 20H (GALA)
SAMEDI 25 FÉVRIER 2017 – 20H
MARDI 28 FÉVRIER 2017 – 20H

PREMIÈRE À L’OPÉRA DE MONTE-CARLO, LE 3 FÉVRIER 1906
DERNIÈRE À L’OPÉRA DE MONTE-CARLO, LE 23 JANVIER 1932

Opéra romantique en trois actes
Musique de Richard Wagner (1813-1883)
Livret de Richard Wagner
Création version originale : Dresde, Hoftheater, 19 octobre 1845
Création version de Paris en français : Opéra de Paris 13 mars 1861

Nouvelle production
Version de Paris en français

Durée du spectacle : 3h20
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Direction musicale Nathalie Stutzmann
Mise en scène Jean-Louis Grinda
Décors Laurent Castaingt
Costumes Jorge Jara
Lumières Laurent Castaingt
Chorégraphie Eugénie Andrin
Chef de chœur Stefano Visconti

Hermann, Landgrave de Thuringe Steven Humes
Tannhaüser José Cura
Wolfram von Eschenbach Jean-François Lapointe
Walther von der Vogelweide William Joyner
Biterolf Roger Joakim
Henri le Scribe Gijs Van der Linden
Reinmar von Zweter Chul-Jun Kim
Elizabeth, nièce du Landgrave Annemarie Kremer
Venus Aude Extrémo
Un jeune Pâtre Anaïs Constans

Chœur de l’Opéra de Monte-Carlo

J-1 avant la première représentation de La cenerentola de Rossini avec Cecilia Bartoli et Les Musiciens du Prince au Grimaldi Forum.
Cecilia Bartoli et Les Musiciens du Prince vous invitent à fêter le bicentenaire de la création de cet opéra mythique de Rossini en version semi-stage.
Le journaliste José Sacré a eu l’occasion de s’entretenir avec Cecilia Bartoli qui incarnera Angelina, dite Cendrillon et Jean-Louis Grinda, Directeur de l’Opéra de Monte-Carlo.
Pour rappel, les artistes qui participent à cette production sont : Edgardo Rocha (Don Ramiro), Alessandro Corbelli (Dandini), Carlos Chausson (Don Magnifico), Sen Guo (Clorinda), Irène Friedli (Tisbe), Cecilia Bartoli (Angelina, dite Cendrillon), Ugo Guagliardo (Alidoro) sous la direction de Gianluca Capuano avec l’orchestre baroque Les Musiciens du Prince.

Adaptée librement d’un roman de l’abbé Prévost, la Manon de Massenet voit le jour à l’Opéra-Comique de Paris en 1884. Le succès est immédiat et ne se démentira pas, au point d’atteindre la 2000e représentation au début des années 1950. Une des raisons du succès, c’est que Massenet et ses librettistes ont su édulcorer les personnages de l’abbé Prévost, les rendant ainsi plus « convenables » aux yeux du public de la fin du XIXe siècle : Manon n’est plus une prostituée, des Grieux n’est plus un assassin, Lescaut n’est plus un proxénète… Surtout, Massenet donne au rôle de Manon une large palette vocale, permettant à l’interprète de s’y distinguer dans des registres tout à tour légers, brillants, intimistes, dramatiques… Mais c’est aussi un personnage qui connaît une forte évolution dramatique et psychologique, depuis la jeune fille sortant de son couvent à l’acte I jusqu’à la femme brisée au dernier acte, traînée sur la route du Havre vers la déportation. Bref, c’est un personnage complexe qui a séduit nombre de grandes cantatrices, jusqu’à Sonya Yoncheva qui le chantera pour la première fois sur la scène de la salle Garnier.
OPÉRA DE MONTE-CARLO
VENDREDI 20 JANVIER 2017 – 20H (GALA)
DIMANCHE 22 JANVIER 2017 – 15H
MERCREDI 25 JANVIER 2017 – 20H
VENDREDI 27 JANVIER 2017 – 20H

PREMIÈRE À L’OPÉRA DE MONTE-CARLO, LE 11 FÉVRIER 1885
DERNIÈRE À L’OPÉRA DE MONTE-CARLO, LE 30 JANVIER 2000

Opéra-comique en cinq actes et six tableaux
Musique de Jules Massenet (1842-1912)
Livret de Henri Meilhac et Philippe Gille d’après le roman Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut de l’abbé Prévost
Création : Paris, Opéra-Comique, 19 janvier 1884

Production de l’Opéra de Lausanne

Durée du spectacle : 2h40

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Direction musicale Alain Guingal
Mise en scène Arnaud Bernard
Décors Alessandro Camera
Costumes Carla Ricotti
Lumières Patrick Méeüs
Chef de chœur Stefano Visconti

Manon Lescaut Sonya Yoncheva
Poussette Charlotte Despaux
Javotte Jennifer Michel
Rosette Marion Lebègue
Le Chevalier des Grieux Jean-François Borras
Lescaut, de la Garde du Roi, son cousin Lionel Lhote
Le Comte des Grieux, son père Marc Barrard
Guillot de Morfontaine Rodolphe Briand
De Brétigny Pierre Doyen
L’Hôtelier Philippe Ermelier

Chœur de l’Opéra de Monte-Carlo
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo

Opéra en un prologue et 3 actes
Musique de Giuseppe Verdi (1813-1901)
Livret de Temistocle Solera, tiré de la tragédie de Zacharias Werner, Attila, König der Hunnen
Création : Venise, Teatro alla Fenice, 17 mars 1846

Première à l’Opéra de Monte-Carlo

Nouvelle production, en coproduction avec l’Opéra royal de Wallonie
Chef d’orchestre Daniele Callegari
Mise en scène Ruggero Raimondi
Décors Daniel Bianco
Costumes Laura Lo Surdo
Lumières Albert Faura
Chef de chœur Stefano Visconti

Attila, roi des Huns Ildar Abdrasakov
Uldino, Breton, escalve d’Attila Domenico Menini
Odabella, fille du seigneur d’Aquillée Rachele Stanisci
Ezio, général romain George Petean
Foresto, chevalier à Aquilée Andeka Gorrotxategi
Le Pape Léon Ier In-Sung Sim

Chœur de l’Opéra de Monte-Carlo
Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo

Dernière représentation ce soir de Nabucco, un opéra fédérateur donné à l’occasion de la Fête nationale monégasque au Grimaldi Forum.

Après des focus mettant en lumière Leo Nucci (le roi de Babylone) et Anna Pirozzi (Abigaille), nous vous proposons un reportage de José Sacres sur la production Nabucco interprété par Leo Nucci (Nabucco), Gaston rivero (Ismaele), Vitalij Kowaljow (Zaccaria), Anna Pirozzi (Abigaille), Béatrice Uria-Monzon (Fenena), José Antonio Garcia (Le Grand Prêtre), Maurizio Pace (Abdallo) et Anna Nalbandiants (Anna) sour la direction de Giuseppe Finzi avec le Chœur de l’Opéra de Monte-Carlo et l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo.

Lors de sa venue vendredi dernier à l’Opéra de Monte-Carlo à l’occasion de son récital, Bryn Terfel a souhaité vous adresser un message…