« Monaco et l’Océan : de l’exploration à la protection ».
Espace dédié à l’engagement de la Principauté et de ses Princes en faveur des Océans.

Le Musée océanographique , lieu chargé d’histoire au patrimoine riche, dévoile un nouvel espace et propose un véritable voyage dans le temps, de 1906 à nos jours.

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Dr. Casimir de Lavergne, océanographe au CNRS, Laboratoire LOCEAN, Sorbonne Université
Docteur de l’Université Pierre et Marie Curie, Paris, spécialité Océanographie physique. Ecole doctorale 129 – Sciences de l’environnement.

Casimir de Lavergne est récompensée pour sa thèse : : « Éléments du cycle de vie de l’Eau Antarctique de Fond ».

L’eau Antarctique de Fond constitue la principale masse d’eau océanique par son volume, et nourrit la composante la plus profonde et la plus lente de la circulation océanique.
Casimir de Lavergne a montré que la remontée des eaux abyssales n’est pas uniforme, mais s’effectue le long du relief et s’accompagne d’une subsidence loin du relief.

Désireux d’apporter son soutien aux nouvelles générations de chercheur – dont les travaux s’inscrivent dans une discipline liée à l’océan – l’Institut océanographique a décerne le Prix de Thèse.
Les lauréats reçoivent une aide de 3000€ pour la poursuite de leurs recherches. #OceanoAwards

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Dr Andrea Thiebault, océanographe, Unité de recherche « Marine Apex Predator Research Unit », Nelson Mandela University. Docteure de l’université Montpellier II, spécialité Écosystèmes et Sciences agronomiques.

Andréa Thiebault est récompensée pour sa thèse : « Voyages avec les fous du Cap : influences sociales pour les stratégies d’approvisionnement alimentaire, observées par vidéo ». thèse réalisée à l’IRD au sein de l’UMR MARBEC.

Les travaux de recherche d’Andréa s’intègrent dans l’étude des stratégies développées par les oiseaux pour se nourrir en milieu marin. Ces oiseaux sont souvent observés en groupe en mer (en vol, en chasse ou sur l’eau), ce qui suppose une prévalence des interactions sociales dans leurs traits d’histoire de vie. Pourtant, les mécanismes sous-jacents à ces comportements sociaux sont peu connus.

Désireux d’apporter son soutien aux nouvelles générations de chercheur – dont les travaux s’inscrivent dans une discipline liée à l’océan – l’Institut océanographique a décerne le Prix de Thèse.
Les lauréats reçoivent une aide de 3000€ pour la poursuite de leurs recherches. #OceanoAwards

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Pr Eric Karsenti
Lauréat de la grande Médaille Albert Ier, section Science

Eric Karsenti est directeur de recherche au CNRS et à l’EMBL, membre de l’Académie des Sciences et directeur scientifique de l’expédition Tara Océans.

Ce biologiste cellulaire et biophysicien, s’intéresse particulièrement au plancton. Ces organismes marins essentiels à la vie océanique et terrestre, il tente de percer ses mystères, au travers de l’expédition Tara Océans.

Avec ses équipes ils ont établi la première cartographie du plancton à travers toutes les mers du globe.

La Grande Médaille Albert Ier dans la section « Science » récompense un chercheur hautement qualifié dans le domaine de l’océanographie pour l’ensemble de sa carrière, de travaux spécifiques ou une découverte exceptionnelle. #OceanoAwards

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Ellen MacArthur, lauréate de la Grande Médaille Albert Ier, section MÉDIATION.

Ancienne navigatrice et Présidente de la Fondation Ellen MacArthur. Elle s’est donnée pour mission d’accélérer la transition vers l’économie circulaire, un sujet qu’elle souhaite placer à l’ordre des priorités des dirigeants d’entreprises, des gouvernements et de la recherche universitaire sur la scène internationale.

En 2005, Ellen MacArthur entrait dans l’histoire du yachting en battant le record du monde à la voile en solitaire. Elle demeure encore à ce jour la navigatrice en solitaire la plus titrée de l’histoire de la voile britannique, ayant remporté l’Ostar, la Route du Rhum et obtenu une seconde place lors Vendée Globe 2000. Elle a reçu la Légion d’honneur française en 2008, trois ans après avoir été décorée de l’ordre de l’Empire britannique par la reine Elizabeth II

Consciente que notre économie linéaire repose sur l’extraction de ressources naturelles limitées, Dame Ellen MacArthur s’est retirée de la compétition avec pour ambition d’accélérer la transition vers une économie circulaire, et est parvenue à inscrire cette question à l’agenda des décideurs du monde entier. #OceanoAwards

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Dame Ellen MacArthur, récipiendaire de la Grande Médaille Albert Ier dans la section MÉDIATION.

Ancienne navigatrice et Présidente de la Fondation Ellen MacArthur. Elle s’est donnée pour mission d’accélérer la transition vers l’économie circulaire, un sujet qu’elle souhaite placer à l’ordre des priorités des dirigeants d’entreprises, des gouvernements et de la recherche universitaire sur la scène internationale.

Célèbre pour ses talents de navigatrice, c’est en 2015 qu’elle entre dans l’histoire en battant le record du tour du monde à la voile en solitaire. Elle termine également deuxième du Vendée Globe en 2000/2001.

Anoblie par la Reine Elizabeth II, Chevalier de la légion d’honneur, elle est aujourd’hui le symbole de l’économie circulaire grâce à sa fondation : Ellen MacArthur Foundation.

Avec passion et détermination, elle engage un dialogue avec les gouvernements et les entreprises pour faire rayonner le monde de demain.
Dans la section « Médiation », Dame Ellen MacArthur reçoit la Grande Médaille Albert Ier.

Chaque année, l’Institut océanographique, Fondation Albert Ier, Prince de Monaco honore les grands noms du monde marin.
De par leurs travaux et leurs engagements en faveur des océans, ces personnes se voient remettre cette distinction. La Grande Médaille Albert Ier est le prix le plus prestigieux décerné par l’Institut océanographique.
#OceanoAwards

L’Institut océanographique, Fondation Albert Ier, Prince de Monaco vous propose de revenir en images sur nos actions au service des océans. Des événements grand public aux rendez-vous politiques, revivez quelques grandes étapes et découvrez les missions de cette Fondation reconnue d’utilité publique.

Créée en 1906, l’Institut océanographique poursuit l’objectif de son Fondateur le Prince Albert Ier de faire « connaître, aimer et protéger les océans » en agissant en médiateur entre la communauté scientifique, les décideurs économiques et politiques et le grand public pour promouvoir la connaissance, la protection et la gestion durable des océans.

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Pr. Eric Karsenti, directeur de recherche émérite au CNRS et à l’EMBL, membre de l’Académie des Sciences et directeur scientifique de l’expédition Tara Océans. Biologiste cellulaire et biophysicien, il s’intéresse au plancton, organismes marins essentiels à la vie océanique et terrestre, dont il tente de percer les mystères avec l’expédition Tara Océans. Il établit notamment la première cartographie du plancton à travers toutes les mers du globe.

D’abord connu comme biologiste cellulaire puis Directeur de recherche au CNRS et à l’EMBL.
Il est membre de l’académie des sciences.
Féru de voile, aventurier dans l’âme, il imagine le projet Tara Océan. Grâce à ses travaux environ 150 millions de gènes issus du monde marin sont aujourd’hui découverts.

L’importance de ses travaux contribue à faire connaître, aimer et protéger les océans.
Dans la section « Science », le chercheur Eric Karsenti reçoit la Grande Médaille Albert Ier.

Chaque année, l’Institut océanographique, Fondation Albert Ier, Prince de Monaco honore les grands noms du monde marin.
De par leurs travaux et leurs engagements en faveur des océans, ces personnes se voient remettre cette distinction. La Grande Médaille Albert Ier est le prix le plus prestigieux décerné par l’Institut océanographique.
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Axolotl, « monstre aquatique » en langue nahuatl.
C’est une espèce en danger critique d’extinction.

L’animal fascine les biologistes qui étudient sa programmation cellulaire lui permettant une forte résistance au cancer et la possibilité de récréer certaines parties de son cerveau ou de se régénérer un oeil.

À l’état sauvage, l’Axolotl vit uniquement au Mexique, dans le lac de Xochimilco, à 2240 mètres d’altitude.

Selon la mythologie aztèque, l’axolotl est la dernière incarnation du dieu du feu Xolotl, le seul qui ait refusé de se sacrifier pour mettre en mouvement le Cinquième Soleil, l’ère de la création de l’homme.

Réalisation/Montage : Morgane Goulot
Images : Frédéric Pacorel

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Nous commençons tous à prendre conscience que les mers et océans sont de plus en plus fragiles et menacés. Fort heureusement, ses habitants sont encore bien présents et nous rappellent combien la nature est belle et indispensable. Restons positifs et protégeons ce que nous aimons.

Ciné-conférence avec Yukimi Yamamoto Heuzey (chanteuse lyrique) & René Heuzey (cinéaste sous-marin), co-organisée par l’Institut océanographique et Connaissance du Monde, en partenariat avec la Société des explorateurs français.

Maison des océans, Paris, 25 septembre 2018
http://www.institut-ocean.org/rubriques.php?lang=fr&article=1529669950&pg=1&categ=1265713956&sscategorie=1513762918

Le poisson-pierre (Synanceia verrucosa) est un poisson côtier benthique, il vit depuis les premiers mètres jusqu’à 50 m de profondeur environ.
On le rencontre principalement sur des fonds rocheux, près des récifs ou des épaves, mais aussi sur des fonds sableux. Espèce cryptique, il préfère se dissimuler sous les rochers ou les surplombs. Il peut également s’enterrer dans le sable.

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Rana la tortue caouanne remise à l’eau le 19 juin continue sa route.
Grâce à cette caméra qui se détache au bout de 24h, l’équipe du C.N.R.S. récupère de nombreuses données essentielles à la compréhension de cet animal emblématique.
En images sa première plongée de retour en Méditerranée.

Images ©CNRS

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