Institut Audiovisuel de Monaco

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27 Mai 2024

Douleur et gloire de Pedro Almodóvar (2019) // La Bande Annonce

Ce récit autobiographique, où passé et présent se tutoient, confirme la force émotionnelle du cinéma d’Almodóvar. Générique : Dolor y Gloria - Espagne, France, 2019, couleur, 113 min., vostf. Réalisation et scénario : Pedro Almodóvar. Image : José Luis Alcaine. Son : Sergio Bürmann. Direction artistique : Maria Clara Notari. Décors : Antxón Gómez. Costumes : Paola Torres. Musique originale : Alberto Iglesias. Montage : Teresa Font. Production : El Primer Deseo AIE, El Deseo DA. Avec : Antonio Banderas (Salvador), Asier Etxeandia (Alberto), Leonardo Sbaraglia (Federico), Nora Navas (Mercedes), Julieta Serrano (Jacinta, âgée), Penélope Cruz (Jacinta, jeune), César Vicente (Eduardo), Cécilia Roth (Zulema).

Présentation

En devenant “Institut Audiovisuel de Monaco”, les Archives audiovisuelles de la Principauté de Monaco ouvrent un nouveau chapitre de leur histoire, affirment la portée scientifique et historique de leur travail.

 

L’Institut à pour mission de collecter, de préserver, d’archiver et de mettre en valeur la mémoire audiovisuelle de Monaco. Les Collections, dons et dépôts, représentent aujourd’hui environ 45 000 documents : courts et longs métrages, fictions, documentaires, actualités, reportages, publicités, émissions radiophoniques, captations de spectacles, films de famille et d’amateurs.

Les dernières actus Institut Audiovisuel de Monaco

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26 Mai 2021

Alouettes, le Fil à la patte de J. Menzel (1969), samedi 29 mai à 15 h, Théâtre des Variétés, Monaco

Générique
Skrivánci na niti. Tchécoslovaquie – 1969 – Couleur – 90 min., vostf.
Réalisation : Jirí Menzel. Scénario : Jirí Menzel d’après le roman Vends maison où je ne veux plus vivre de Bohumil Hrabal. Image : Jaromír Sofr. Musique : Jirí Sust. Montage : Jirina Lukesová Pro-duction : Karel Kochman. Avec : Rudolf Hrušínský (Trustee), Vlastimil Brodský (Professeur), Václav Neckár (Pavel Hvezdár), Jitka Zelenohorská (Jitka), Jaroslav Satoranský (Garda Andel), Vladimír Smeral (Ministre), Jirina Štepniková (la mère de Pavel). Ours d’or, Festival de Berlin, 1990.

Histoire
Années cinquante, quelque part en Tchécoslovaquie. Dans un dépôt de ferraille travaillent des prisonnières, condamnées pour avoir tenté de quitter illégale-ment le pays et des hommes soupçonnés de ne pas s’enthousiasmer pour le régime. Tout ce petit monde suit avec compréhension l’amour de Pavel pour la jeune prisonnière Jitka. Lors d’un conflit avec la direction, le communiste Mlikar, le seul volontaire, devient leur porte-parole. Mais il est rapidement arrêté, et disparaît.

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15 Mai 2021

Monaco en Films : Transformations du Casino. 1858-1968. Photographie, nb. Collection IAM

Construit entre 1858 et 1863, dans un pur style italien, palladien, le premier Casino de Monte-Carlo, symbole de la création du nouveau quartier voulu par le prince Charles III, est l’œuvre de l’architecte parisien Godinot de la Bretonnerie, artisan de la restauration du palais Princier à la même époque. Le Casino connaît par la suite de nombreuses transformations : devant le succès considérable des jeux de table encore interdits dans le pays voisin, on modifie, on embellit, on agrandit l’édifice. En 1878, apparaissent la coupole et les deux clochetons dressés vers le ciel, œuvre de Charles Garnier. Avec sa nouvelle façade plaquée en avant-corps de l’ancienne entrée, le Casino ne va plus guère changer à compter de 1890. Cet « instantané » est issu de la production « L’Invention de Monte-Carlo » éditée en DVD en décembre 2019.

« Transformations du Casino ». 1858-1968. Photographie, nb.
© Institut audiovisuel de Monaco.
Projeté en avant-programme de « Trente et quarante » de Gilles Grangier (1945) le samedi 15 mai au Théâtre des Variétés.

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12 Mai 2021

Trente et quarante, de Gilles Grangier (1945), samedi 15 mai, 15 h, Théâtre des Variétés Monaco

Générique
France – 1945 – Noir et blanc – 105 min.
Réalisation : Gilles Grangier. Scénario : André-Paul Antoine d’après Edmond About. Dialogues : André-Paul Antoine. Image : Fred Langenfeld. Son : Emile Lagarde, Jacques Carrère. Musique originale : Francis Lopez. Chansons originales : Jacques Larue. Décors : Louis Le Barbenchon. Costumes : Olga Choumansky. Montage : Germaine Artus. Production : Paul-Edmond Decharme pour la Société Nouvelle des Établissements Gaumont. Avec : Georges Guétary (le comte Mario de Miranda), Martine Carol (Madeleine Bitterlin), André Alerme (le capitaine Bitterlin), Gisèle Pré-ville (Aurélia), Jeanne Fusier-Gir (Agathe), Jean Parédès (Monsieur Leprince), Michèle Philippe (Hélène Leprince), Félix Oudart (le colonel Flosh), Alfred Pasquali (Silvergot).

Histoire
Sous le Second Empire, un officier qui surveille jalousement les faits et gestes de sa fille, considère le jeu comme un manquement à l’honneur. Pour arracher sa fille aux avances d’un soupirant, il l’emmène jusqu’à Monte-Carlo où, poussé par les circonstances, il s’associe à une table de jeu et gagne, sans avoir misé, une fortune.

Critique
Variations musicales sur l’amour, l’argent et le jeu. D’agréables fantoches, le capitaine Bitterlin, sa fille, la gouvernante, Agathe et le piquant comte Mario de Miranda, mènent la danse. Les amourettes un moment contrariées amènent plus de sourires que de larmes et gagner au trente et quarante permet de vaincre l’obstination des pères récalcitrants.
Raymond Chirat, La Saison cinématographique 1945-1947, La Revue du Cinéma, Paris, 1983, p.200.

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12 Avril 2021

Monaco en Films : Destruction du Tir aux pigeons. 1972-75. Super8, coul. Coll. Gardetto

Consciencieusement, Émile Gardetto enregistre avec sa caméra Super8, l’évolution d’un chantier emblématique du début des années 1970 à Monaco. En effet, cent ans après son édification, la Principauté voit disparaître de son paysage, le célèbre promontoire du Tir aux pigeons, l’une des attractions phare du Monte-Carlo de la Belle époque. Ce chantier spectaculaire, visible depuis les terrasses du Casino ou depuis le fort Antoine, attise la curiosité des badauds et des promeneurs qui suivent pas à pas l’édification de l’hôtel Lœws et du Centre de congrès Rainier III. À l’arrière-plan aussi, le paysage change : derrière le hall du Centenaire, le long de l’avenue princesse Grace, on érige les immeubles Le Bahia et L’Estoril.

Destruction du Tir aux pigeons. 1972-75. Super8, couleur. Collection Gardetto.
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote Film 0381-1682-CF15583.
Projeté en avant-programme de « Touche pas à la femme blanche » Marco Ferreri (1973) le samedi 10 avril au Théâtre des Variétés.

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6 Avril 2021

Touche pas à la femme blanche de Marco Ferreri (1973), samedi 10 avril, 15 h, Théâtre des Variétés

Générique
France – Italie – 1973 – Couleur – 108 min.
Réalisation : Marco Ferreri. Scénario et dialogues : Rafael Azcona, Marco Ferreri. Photographie : Étienne Becker. Son : Henri Roux. Décors : Luciana Vedovelli. Costumes : Lina Nerli Taviani. Mu-sique : Philippe Sarde. Montage : Ruggero Mastroianni. Production : Films 66 (Paris), Laser Film (Rome), Mara Films (Paris), Produzioni Europee Associati (Rome). Avec : Marcello Mastroianni (Custer), Catherine Deneuve (Marie-Hélène de Boismonfrais), Philippe Noiret (général Terry), Mi-chel Piccoli (Buffalo Bill), Serge Reggiani (l’Indien fou), Ugo Tognazzi (Mitch), Darry Cowl (natura-liste), Alain Cuny (chef indien).

Histoire
Le général Custer défile dans le Paris des années soixante-dix. Il est chargé de débarrasser la capitale du péril indien. La cavalerie de l’armée fédérale s’arrête au feu rouge, les éclats des trompettes et de la fanfare se mêlent aux volées des cloches de l’église Saint-Eustache, tandis qu’à l’ombre des palissades, Sitting Bull fume paisiblement le calumet de la paix. Buffalo Bill se donne en spectacle dans un café-théâtre, Mademoiselle de Boismonfrais tombe amoureuse de Custer et le général Terry, pantouflard timoré, soigne ses migraines. La grande armée américaine est massacrée alors que les spéculations vont bon train à la Bourse du commerce.

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25 Mars 2021

It Must Be Heaven d'Elia Suleiman (2019), samedi 27 mars 2021 à 15 h, Théâtre des Variétés Monaco

Générique
France, Qatar, Allemagne, Canada, Turquie, Palestine – 2019 – Couleur – 97 min., vostf. Réalisation et scénario : Elia Suleiman. Image : Sofian El Fani. Son : Johannes Doberenz. Montage : Véronique Lange. Décors : Caroline Adler. Costumes : Alexia Crisp-Jones, Éric Poirier. Production : Rectangle Productions, Nazira Films, Pallas Film, Possibles Media, Zeyno Film, Doha Film Institute, ZDF/Arte, Turkish Radio, Television Corporation, Cn3. Avec : Elia Suleiman (dans son propre rôle), Tarik Copti et Kareem Ghneim (voisins à Nazareth), George Khleifi (le serveur du restaurant de Nazareth), Grégoire Colin (l’homme dans le métro parisien), Vincent Maraval (le producteur de films), Kwasi Songu (le chauffeur de taxi à New York), Raïa Haïdar (la « femen »), Gael García Bernal dans son propre rôle.

Histoire
Elia Suleiman fuit la Palestine à la recherche d’une nouvelle terre d’accueil, avant de réaliser que son pays d’origine le suit toujours comme une ombre. La promesse d’une vie nouvelle se transforme vite en comédie
de l’absurde. Aussi loin qu’il voyage, de Paris à New York, quelque chose lui rappelle sa patrie.

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24 Mars 2021

Monaco en Films : Le bal des diablotins. 1968. 8 mm. Coll. Choquard

Lors d’un bel après-midi d’été, la famille Assenza a une idée bien originale pour occuper ses deux jeunes garçons. En sortant le tourne-disque sur le balcon de leur appartement des Boulingrins, avenue du 3 septembre à Cap d’Ail, les parents déclenchent une amusante saynète. Face à la caméra, les enfants s’en donnent à cœur joie. Même muette, la caméra du cinéaste amateur saisit la chorégraphie et le plaisir évident de ces jeunes danseurs de disco.

Le bal des diablotins. 1968. 8 mm, couleur. Collection Choquard
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote Film 0415-2094-CF16987.
Projeté en avant-programme de « It Must be Heaven » de Elia Suleiman (2019) le samedi 27 mars au Théâtre des Variétés.

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24 Mars 2021

Monaco en Films : Monte-Carlo c'est la rose. Extrait 2. 16mm, 1968. Coll. Palais de Monaco

Dans l’esprit de Broadway, ce programme télévisé américain, réalisé par Michael Pfleghar diffusé sur la chaine américaine ABC le 6 mars 1968, est un mélange de visites guidées de Monaco par la princesse Grace, et de séquences dansées et chantées par des célébrités. Dans ce nouvel extrait, le chanteur Gilbert Bécaud nous conduit sur les terrasses du Casino en chantant son célèbre succès, « L’important c’est la rose », sous un flamboyant feu d’artifice. Françoise Hardy, le rejoint pour conclure en duo cette chanson, aux côtés de la princesse de Monaco.

Monte-Carlo c’est la rose (extrait 2). 1968. 16 mm couleur. Collection Palais de Monaco.
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote Film 0252-438-CF5820.
Projeté en avant-programme de Les Chansons d’amour de Christophe Honoré (2007) le samedi 20 mars au Théâtre des Variétés.

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16 Mars 2021

Les Chansons d'amour de Christophe Honoré (2077), samedi 20 mars 2021 à 15 h, Théâtre des Variétés

Générique
France – 2007 – Couleur – 95 min.
Réalisation et scénario : Christophe Honoré. Image : Rémy Chevrin. Son : Guillaume Le Braz. Décors : Samuel Deshors. Costumes : Pierre Canitrot. Montage : Chantal Hymans. Musique et Paroles originales : Alex Beaupain. Production : Alma Films (Paris), Flach Films (Paris). Avec : Louis Garrel (ismaël), Ludivine Sagnier (Julie), Chiara Mastroianni (Jeanne), Clotilde Hesme (Alice), Grégoire Leprince-Ringuet (Erwann), Brigitte Roüan (la mère), Alice Butaud (Jasmine), Jean Marie Winling (le père), Yannick Renier (Gwendal).

Histoire
Toutes les chansons d’amour racontent la même histoire : « Il y a trop de gens qui t’aiment »… « Je ne pourrais jamais vivre sans toi »… « Sorry Angel »… Les Chansons d’amour raconte aussi cette histoire-là.

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16 Mars 2021

L'inconnu de Collegno de Maïder Fortuné (2018) – Samedi 13 mars 2021, 15 h, Théâtre des Variétés

Générique
France – 2019 – Couleur – 50 min.
Réalisation et scénario : Maïder Fortuné. Image : Vincent Pinckaers et Artur Castro Freire. Montage : Stéphane Elmadjane. Musique : Kinda Hassan. Son : Lazlo Umbreit. Création sonore : Simon Apostolou. Production : Spectre productions. Avec : Sam Louwyck (l’Inconnu), Caroline Daish (Giulia Canella), Rodolphe Cogné (l’interrogateur), Philippe Grand-Henry (Felice Bruneri), Pierre Sartener (l’expert psychiatre).

Histoire
Un homme sans nom entre dans une pièce où on va l’interroger. On l’a retrouvé un matin sur une place à Turin. Il a perdu la mémoire. Les voix se succèdent pour savoir s’il est bien l’éminent professeur Giulio Canella, disparu à la guerre, ou un brillant imposteur sans le sou, Mario Bruneri, qui tente ici son dernier mauvais tour pour échapper à la justice. L’enveloppe silencieuse de l’amnésique se remplit des récits de celle qui pense être sa femme, Giulia Canella, et de celui qui se déclare comme son frère, Felice Bruneri.

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27 Février 2021

Monaco en Films : Monte-Carlo Ski Club à Beuil. Fin années 1930. 9,5 mm, NB. Collection Badia

Un groupe d’amis quitte Monaco pour une sortie dans les montagnes enneigées, les skis chargés sur le toit de la voiture. Cette année-là, le Monte-Carlo Ski Club a installé son chalet dans le village de Beuil. Durant cette journée ensoleillée, Josette Tournay et Roger Félix Médecin, Ramon Badia et Cilette Tournay, s’amusent devant une caméra complice, entre pas de danse, descentes et chutes. Ces images ont été tournées en 9,5 mm, certainement avec la caméra Pathé-Baby du père, Joseph Tournay, photographe à Monaco. Grâce au dépôt effectué par José Badia en 2013, ces films sauvegardés et numérisés sont la trace sensible de la jeunesse monégasque des années 1930.

Monte-Carlo Ski Club à Beuil. Fin années 1930. 9,5 mm noir et blanc. Collection Badia
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote Film 0347-1082-CF10705.
Projeté en avant-programme de « La Soupe au canard » de Leo McCarey (1933) le samedi 27 février au Théâtre des Variétés.

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22 Février 2021

La Soupe au canard de Leo McCarey (1933), samedi 27 février 2021, 15 h, Théâtre des Variétés

Générique
États-Unis – 1933 – Noir et blanc – 80 min., vostf.
Réalisation : Leo McCarey. Scénario : Bert Kalmar, Harry Ruby. Image : Henry Sharp. Son : H.M. Lindgren. Chansons originales : Bert Kalmar et Harry Ruby. Direction artistique : Hans Dreier, W.B. Ihnen. Costumes : Edith Head. Montage : LeRoy Stone. Production : Paramount Pictures. Avec : Groucho Marx (Rufus T. Firefly), Harpo Marx (Pinky), Chico Marx (Chicolini), Zeppo Marx (Bob Roland), Margaret Dumont (Mrs. Gloria Teasdale), Raquel Torres (Vera Marqual), Louis Calhern (Trentino), Edmund Breese (Zander).

Histoire
La richissime Mrs. Teasdale, veuve de l’ancien président de Freedonia, accepte de renflouer les caisses du pays à condition que Rufus T. Firefly, pour lequel elle a de l’admiration et un petit faible, succède à son mari et prenne la tête du gouvernement. Mais l’ambassadeur de Sylvania, le fourbe Trentino, voudrait épouser Mrs. Teasdale pour régner en maître sur Freedonia.

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26 Juillet 2024

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