Institut Audiovisuel de Monaco
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10 Mars 2025
Brendan et le secret de Kells de Tomm Moore (2008) // La Bande Annonce
Loin de l’imagerie du Seigneur des anneaux, ce film d’animation ne cesse d’éblouir par la magie de ses dessins et la vivacité de son récit. Générique : The Secret of Kells - France, Irlande, Belgique, 2008, couleur, 75 min. Réalisation : Tomm Moore, Nora Twomey. Scénario : Fabrice Ziolkowski d’après une idée originale de Tomm Moore. Musique originale : Bruno Coulais. Direction artistique : Ross Stewart. Montage : Fabienne Alvarez-Giro. Animation : Tomm Moore, Barry Reynolds. Production : Les Armateurs, Cartoon Saloon, Vivi Film, France 2 Cinéma. Avec les voix de : Robin Trouffier (Brendan), Dominique Collignon-Maurin (Aidan), Clara Poincaré (Aisling), Feodor Atkine (l’abbé Cellach), Jim Adhi Limas (frère Tang).
Présentation
En devenant “Institut Audiovisuel de Monaco”, les Archives audiovisuelles de la Principauté de Monaco ouvrent un nouveau chapitre de leur histoire, affirment la portée scientifique et historique de leur travail.
L’Institut à pour mission de collecter, de préserver, d’archiver et de mettre en valeur la mémoire audiovisuelle de Monaco. Les Collections, dons et dépôts, représentent aujourd’hui environ 45 000 documents : courts et longs métrages, fictions, documentaires, actualités, reportages, publicités, émissions radiophoniques, captations de spectacles, films de famille et d’amateurs.
Les dernières actus Institut Audiovisuel de Monaco
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26 Novembre 2021
Les Adieux à Matiora, d'Elem Klimov (1981) // La bande-annonce
Le village de Matiora est condamné à disparaître. Suite à la construction d’une importante centrale électrique, le lac va en effet recouvrir l’île qui accueille ce hameau. Tandis que les paysans s’adonnent à la dernière récolte de leurs terres et s’apprêtent à la quitter, les plus anciens refusent de partir.
Proscanie, URSS, 1981, couleur, 121 min., vostf. Réalisation : Elem Klimov. Scénario : Larissa Chepitko, Rudolph Tiourine, Guerman Klimov, Elem Klimov. Image : Alexandre Rodoniov, Sergueï Taraskine, Youri Skhirtladzé, Vladimir Tchoukhnov. Son : Boris Venguerovski. Montage : Valeria Belova. Décors : Youri Fomenko, V. Petrov. Musique originale : Viatcheslav Artiomov, Alfred Schnittke. Production : Studios Mosfilm. Avec : Stéfania Staniouta (Daria Pinéguine), Lev Dourov (Pavel Pinéguine), Lydia Savtchenko (la femme de Pavel), Alexeï Petrenko (Vorontsov), Maïa Boulgakova (Nastasia, l’amie de Daria), Galina Demina (Sima, l’amie de Daria), Lioubov Malinovskaïa (Liza, l’amie de Daria), Pavel Kormounine (Yegor).
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23 Novembre 2021
Monaco en Films : Royal canin. 1959, 8mm, coul. Collection Scorsolio
Profitant d’une belle journée ensoleillée, Gilbert Scorsolio décide de filmer son frère dans différents endroits de Monaco. Mais le personnage qui lui vole la vedette n’est autre que son fidèle berger allemand, Dick. Le voilà installé à bord d’un pointu naviguant dans la baie de Fontvieille et de Cap d’Ail, vierge de tout terre-plein, la caméra toujours braquée sur lui. Après une balade dans les jardins aménagés au cœur du Fort Antoine, on retrouve le chien et son maître dans la cour de la mairie de Monaco où le cinéaste pose un instant sa caméra pour immortaliser les trois acteurs du film.
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote 0422-2291-CF19166. Projeté en première partie de « Paterson » de Jim Jarmusch (2016), le mercredi 10 novembre 2021.
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10 Novembre 2021
L'Homme que j'ai tué, d'Ernst Lubitsch (1932) // La bande-annonce
Paris, 1919. Paul Renard se confesse à un prêtre. Il avoue avoir tué un soldat allemand pendant la guerre et être rongé par le remords. L’absolution de l’Église ne soulage pas sa conscience et Paul décide d’aller trouver la famille du soldat en Allemagne pour se faire pardonner d’elle.
Broken Lullaby ou The Man I Killed, États-Unis, 1932, noir et blanc, 77 min., vostf. Réalisation : Ernst Lubitsch. Scénario : Samson Raphaelson et Ernest Vajda, d’après la pièce de Maurice Rostand L’homme que j’ai tué, adaptée par Reginald Berkeley. Image : Victor Milner. Décors : Hans Dreier. Musique originale : W. Franke Harling. Production : Paramount Pictures. Avec : Lionel Barrymore (Dr H. Holderlin), Phillips Holmes (Paul Renard), Nancy Carroll (Fraulein Elsa), Louise Carter (Frau Holderlin), Tom Douglas (Walter Holderlin), Emma Dunn (Frau Muller), Lucien Littlefield (Herr Walter Schultz), Tully Marshall (le fossoyeur), ZaSu Pitts (Anna).
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28 Octobre 2021
Vérités et mensonges d'Orson Welles (1973) // La bande-annonce
Le faux… le vrai… où se situe la différence ? Surtout pour un artiste, éternel magicien qui, avec ses tours de passe-passe, tente de laisser une durable lueur d’émerveillement dans les yeux des éternels enfants qui le regardent. Orson Welles, « truqueur » de génie, nous parle des escrocs qu’il a connus.
F For Fake, France – Iran – République fédérale d’Allemagne, 1973, couleur, 85 min. Réalisation et scénario : Orson Welles. Image : Christian Odasso, Gary Graver. Son : Paul Bertault. Musique originale : Michel Legrand. Montage : Marie-Sophie Dubus, Dominique Boischot, Elisabeth Moulinier. Production : Les Films de l’Astrophore (Paris), Saci (Téhéran), Janus Film und Fernseh-Produktion GmbH (Frankfurt am Main). Avec : Orson Welles, Oja Kodar, Elmyr de Hory, Clifford Irving, Edith Irving, François Reichenbach, Joseph Cotten (dans leurs propres rôles).
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27 Octobre 2021
Monaco en Films : Inauguration de la bibliothèque princesse Caroline. 3 mai 1960, 16mm – Coll. TMC
Qui se souvient que l’actuel poste de police au pied de la Rampe Major, abritait autrefois la première bibliothèque pour enfants de Monaco, créée à l’initiative du prince Pierre, président de la Commission nationale de l’UNESCO ? Ce bâtiment offrait alors tous les agréments pour donner envie aux enfants d’y passer leurs après-midis. La jeune princesse Caroline qui donne son prénom à cette structure culturelle, est la vedette d’un court reportage de Télé Monte-Carlo consacré à son inauguration officielle, où sont présents la princesse Grace, Émile Pelletier, le Ministre d’État, René Novella, le conservateur de la bibliothèque communale et le père Tucker, le chapelain du Palais.
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote 0000-137-CF3741. Projeté en première partie de « L’Arbre, le Maire et la Médiathèque » d’Éric Rohmer (1993) le mardi 26 octobre 2021.
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6 Octobre 2021
L'Arbre, le maire et la médiathèque, d'Eric Rohmer (1993) // La bande-annonce
À Saint-Juire, petit village vendéen, le maire socialiste, Julien Dechaumes, projette de construire une médiathèque avec une subvention du ministère de la Culture. L’instituteur, Rossignol, s’insurge contre ce projet parce qu’il va provoquer la mort d’un arbre planté au milieu du terrain. Julien et son amie, l’écrivain Bérénice Beaurivage – Parisienne invétérée – vont voir l’oncle de Julien, rédacteur en chef d’Après-demain, journal politique. Là, ils rencontrent Blandine Lenoir, journaliste, qui décide d’écrire un article autour du personnage de Julien qu’elle juge être le prototype de l’homme politique d’aujourd’hui.
France, 1993, couleur, 105 min. Réalisation, scénario et dialogues : Éric Rohmer. Image : Diane Baratier. Son : Pascal Ribier. Musique originale : Sébastien Erms. Montage : Mary Stephen. Production : C.E.R. – La Compagnie Éric Rohmer (Paris). Avec : Pascal Greggory (Julien Dechaumes), Arielle Dombasle (Bérénice Beaurivage), Fabrice Luchini (Marc Rossignol), Clémentine Amouroux (Blandine Lenoir) François-Marie Banier (Régis Lebrun-Blondet), Michel Jaouen (Antoine Pergola), Jean Parvulesco (Jean Walter), Françoise Etchegaray (Madame Rossignol).
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30 Septembre 2021
Méditerranée, de Pollet (1963) et Godard Sollers, l'entretien, de Fargier (1984) // La bande-annonce
Dans cette banale série d’images en 16 sur lesquelles souffle l’extraordinaire esprit de 70, à nous maintenant de savoir trouver l’espace que seul le cinéma sait transformer en temps perdu… Ou plutôt le contraire… Car voici des plans lisses et ronds abandonnés sur l’écran comme un galet sur le rivage… Puis, comme une vague, chaque collure vient y imprimer et effacer le mot souvenir, le mot bonheur, le mot femme, le mot ciel… La mort aussi puisque Pollet, plus courageux qu’Orphée, s’est retourné plusieurs fois sur cet Angel Face dans l’hôpital de je ne sais quel Damas…
Jean-Luc Godard, Cahiers du cinéma n° 187, janvier 1967, p.38
France – 1963 – Couleur – 45 min.
Réalisation : Jean-Daniel Pollet. Assistant : Volker Schlöndorff. Texte : Philippe Sollers. Image : Jean-Daniel Pollet, Jean-Jacques Rochut. Musique : Antoine Duhamel. Montage : Jean-Daniel Pollet, Jacqueline Raynal. Production : Jean-Daniel Pollet
C’est un document : un face-à-face entre Jean-Luc Godard et Philippe Sollers, filmé le 21 novembre 1984, le jour de la fête catholique de la présentation de Marie au Temple. Plus encore, un échange brillant entre le cinéaste (ici très humble) et l’écrivain, qui commente à sa façon Je vous salue Marie. Jean-Paul Fargier a choisi de les filmer avec deux caméras et de juxtaposer les images de l’un et de l’autre, l’un trempant un morceau de pain dans un verre d’eau, l’autre allumant une cigarette. Du dogme de l’Assomption, ils passent à l’hystérie, la jouissance inconsciente, la question de l’âme, Artaud, le sacrilège, le cadre idéal pour filmer la Vierge, le rêve de filmer la messe. Quand sera édité l’indispensable complément à ce dialogue : Le Trou de la Vierge de Sollers ?
Jean-Luc Douin, Le Monde, 21 juillet 2006.
France – 1984 – Couleur – 75 min.
Réalisation : Jean-Paul Fargier. Cadreurs : Richard Ugolini, Jean-Paul Gutliat. Son : Georges Chrétien. Montage : Vincent Ferey. Script : Manuelle Papapietro. Coordinateur des effets spé-ciaux : Michel Suissa. Production : Fédération Léo Lagrange, Vidéo Montage.
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27 Septembre 2021
Monaco en Films : Monaco acclame ses champions. 17 mai 1960, 8 mm, coul. Coll. Scorsolio.
Les joueurs de l’AS Monaco – on identifie facilement sur les images Raymond Kaelbel, Michel Hidalgo et l’entraineur Lucien Leduc – paradent à travers la ville le 17 mai 1960, pour présenter la Coupe de France remportée deux jours plus tôt au stade de Colombes aux dépens de l’AS Saint-Étienne. Empruntant la Porte-Neuve et la rue des remparts jusqu’à la place du Palais, le cortège est suivi par de nombreux supporters, en voitures ou sur les trottoirs. Avec sa caméra 8mm, Gilbert Scorsolio témoigne de la liesse populaire qui accompagne ce tour de la Principauté, notamment dans le quartier des Moneghetti où il habite. Depuis son balcon de l’Herculis, il filme la parade et rejoint ensuite quelques curieux sur le boulevard, avant de trouver un point de vue inédit sur la scène, par-dessus un muret de la rue Bosio.
© Institut audiovisuel de Monaco. Cote 0422-2291-CF19164. Projeté avant « Les Camarades » de Mario Monicelli (1963), le jeudi 23 septembre 2021.
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16 Septembre 2021
Les Camarades, de Mario Monicelli (1963) // La bande-annonce
Histoire
Vers 1905, dans une fabrique textile de Turin, les ouvriers, soumis à un rythme de travail infernal, voient se multiplier les accidents. Trois d’entre eux entrent en conflit avec le contremaître à la suite d’un nouveau drame. Il est alors décidé, en guise de protestation, que tous partiront une heure plus tôt ce soir-là. Fraîchement débarqué de Gênes, un instituteur, militant socialiste, pousse les ouvriers à s’organiser.
Générique
I Compagni, Italie – France – Yougoslavie, 1963, noir et blanc, 125 min., vostf.
Réalisation : Mario Monicelli. Scénario : Agenore Incrocci, Furio Scarpelli, Mario Monicelli. Image : Giuseppe Rotunno. Son : Adriano Taloni. Décors : Mario Garbuglia. Costumes : Piero Tosi. Montage : Ruggero Mastroianni. Musique originale : Carlo Rustichelli. Production : Vides Cinematografica (Roma), Lux Film (Roma), Méditerranée Cinéma Productions (Paris), Avala Film (Belgrade). Avec : Marcello Mastroianni (le professeur Giuseppe Sinigaglia), Renato Salvatori (Raoul), Bernard Blier (Martinetti), Folco Lulli (Pautasso), Gabriella Giorgelli (Adele), François Périer (Di Meo), Annie Girardot (Niobe), Elvira Tonelli (Cesarina), Raffaella Carrà (Bianca), Vittorio Sanipoli (Baudet).
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26 Août 2021
"Monaco en Films" : Le premier tour de la Principauté – 1966, 16 mm, coll. Cinéam
Pour les festivités du Centenaire de Monte-Carlo, la Principauté rend hommage aux premières cylindrées du Rallye en organisant une compétition pour les passionnés : le 1er tour de la Principauté. Une nouvelle occasion de mettre à l’honneur le pilote monégasque, vainqueur du Grand Prix en 1931, Louis Chiron. La course est lancée par l’enfant du pays devant le Monte-Carlo Sporting d’Hiver le samedi 17 septembre 1966. Le lendemain, à bord de leurs vieilles guimbardes, les concurrents se présentent sur la Place du Palais pour recevoir leurs prix des mains de la princesse Antoinette et du maire Robert Boisson.
Cote Film 0150-86-CF1268 © Institut audiovisuel de Monaco
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17 Juillet 2021
Monaco en Films : Championnat du monde de karting. 1967. 8mm, coul. Collection Gardetto
Le Kart-Club de Monaco voit le jour en janvier 1961 et réunis de nombreux passionnés. L’année suivante, une grande piste de karting s’installe sur le terre-plein de Fontvieille en construction. Mais c’est sur une partie du tracé de la célèbre « course dans la cité », sur le boulevard et le quai Albert Ier, que se déroule le 29 octobre 1967, le championnat du monde de la discipline. L’équipe monégasque est composée de quatre membres : Jean-Marc et Daniel Noaro, Georges Mattoni et Jacques Beretta. Le parcours est délimité par des bottes de paille, ce qui ne laisse pas de surprendre aujourd’hui. Sur la ligne de départ, beaucoup de monde s’agite, car pour lancer les karts 100 de cm3 sans embrayage, il est nécessaire de les pousser. En couleurs, et en cinémascope, l’ambiance de la course et de ses à-côtés est parfaitement saisie par la caméra 8 mm de l’amateur Emile Gardetto. La cérémonie du palmarès a lieu en présence de la princesse Grace, accompagnée de ses enfants Caroline et Albert, qui remet la coupe au vainqueur, le suisse Edgardo Rossi.
© Institut audiovisuel de Monaco. Collection Jean-Charles Gardetto
Championnat du monde de karting à Monaco. 1967. 8 mm couleur.
Cote Film 0381-1682-CF15509. Projeté en avant-programme de « Broadway Danny Rose » de Woody Allen (1984) le vendredi 16 juillet au Fort Antoine.
Institut Audiovisuel de Monaco
5 Juillet 2021
Broadway Danny Rose de Woody Allen (1984), vendredi 16 juillet 2021, 21 h 30 au Fort Antoine, Monaco
Générique
États-Unis – 1984 – Noir et blanc – 85 min., vostf.
Réalisation et Scénario : Woody Allen. Image : Gordon Willis. Son : Frank Graziadei. Musique ori-ginale : Dick Hyman. Directeur artistique : Mel Bourne. Décors : Leslie Bloom. Costumes : Jeffrey Kurland. Montage :
Susan E. Morse. Production : Jack Rollins & Charles H. Joffe Productions, Orion Pictures Corpora-tion. Avec : Woody Allen (Danny Rose), Mia Farrow (Tina Vitale), Nick Apollo Forte (Lou Canova), Sandy Bar-on, Corbett Monica, Jackie Gayle, Morty Gunty, Will Jordan, Howard Storm, Jack Rollins, Milton Berle, Joe Franklin, Howard Cosell (dans leurs propres rôles).
Histoire
Dans un snack, autour d’une table, quelques comiques échangent des histoires drôles et des souvenirs. Ils évoquent Danny Rose, un petit impresario qui se donnait un mal fou pour placer quelques artistes
de seconde zone. Il misait à l’époque sur le retour d’un crooner vieillissant, Lou Canova, qui avait une maîtresse, Tina, elle-même veuve d’un truand lié à la mafia et courtisé par Johnny Rispoli. Danny Rose devait la conduire à une soirée organisée par Lou Canova, en se faisant passer pour son amant pour ne pas éveiller les soupçons de sa femme.
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